Sophistication du plaisir
Où l’on se souvient que le vin, c’est aussi la profondeur.
Pour en finir avec les ‘wine haters’ & autres extrémistes ‘intersectionnels’.
Archéologie ampélographique dans les Cévennes ardéchoises. À la recherche des origines de la syrah.
Toute la modernité d’un indigène occitan, ‘père de famille’ nombreuse, longtemps méprisé pour son manque de couleur.
Oh, je sais, je vais passer pour un snob, mais j’avoue qu’il y a des raisins qu’on regarde avec un tout petit peu plus de tendresse que d’autres. Ceux-ci par exemple, immortalisés aujourd’hui à Cornas chez Thierry & Théo Allemand du (célébrissime) domaine éponyme*. Reynard 2020. Déjà, on rêve, on se projette au fond d’un …
Les drôles de vendanges d’un drôle de millésime. Lire la suite »
On parle de crise viticole, elle existe. De plans de soutien, tant mieux. Même si, forcément, dans un pays aux caisses vidées par tant de décennies de gabegie, de dépenses somnifères, analgésiques, calmantes, beaucoup les trouveront insuffisants. De quoi demain sera fait? Comment va-t-on payer l’ardoise? Rembourser le crédit à taux d’usure du cadeau empoisonné …
La bipolarité du Monde émerveillerait si elle n’inquiétait. Nombreuses sont les occasions de le constater, je me contenterai des femmes et du vin. Enfin, les femmes, deux infimes minorités d’entre elles… D’un côté, des exaltées, table ouverte dans les médias, encouragées par d’hypocrites surfeurs, dopées par leurs tourments, leurs psychoses, leurs frustrations, une horde radicale …
Déjà le chemin du retour. Quelques privilégiés mis à part, l’année n’est pas aux longues vacances. Un crochet par les Alpilles (histoire de goûter aux bouchons de Saint-Rémy), se souvenir de Glanum, saluer Me Cornille, frôler la Camargue, se méfier du Diable de Vauvert, se cogner Montpellier, revivre à Marseillan, éviter de se faire Béziers, …