Le petit chemin, l’espoir.
On parle de crise viticole, elle existe. De plans de soutien, tant mieux. Même si, forcément, dans un pays aux caisses vidées par tant de décennies de gabegie, de dépenses somnifères, analgésiques, calmantes, beaucoup les trouveront insuffisants. De quoi demain sera fait? Comment va-t-on payer l’ardoise? Rembourser le crédit à taux d’usure du cadeau empoisonné …